• Étudiants IFTP Nice Sophia Antipolis

Entre connaissance et foi, il est parfois besoin d’un trait d’union… je l’ai trouvé à l’IST.

Magali Bonhomme

L’IST c’est un bouillon de culture laissant chacun libre d’approcher la religion à son rythme. Mais c’est aussi un lieu de partage, d’écoute, de transmission propice à l’émergence d’une dimension spirituelle.

Magali Bonhomme

En fait, il bien difficile de quitter l’IST. Des enseignements riches, variés, toujours renouvelés nous poussent à rester dans ce groupe d’étudiants où des liens se créer, des discussions se tissent. Ces discussions sont souvent difficiles à avoir avec d’autres dans notre vie quotidienne, ce qui rassemble les étudiants de l’IST étant cette même soif de connaitre, de comprendre, d’étayer par des cours le vécu de la foi.

Magali Bonhomme

Ainsi, travaillant sans cesse la Parole de Dieu, les textes du Magistère, la réflexion des théologiens, les écrits spirituels, je ne cesse, certes d’augmenter mes connaissances, mais surtout de me structurer pour être adaptée au monde où Dieu m’envoie. […] Il s’est fait en moi comme un tuteur […] Je suis mieux armée pour aborder la complexité des questions de vie et de foi, en sachant qu’il me faut tout attendre de Dieu, ayant fait tout ce que je pouvais, pour le connaitre.

Catherine Bellenfant

Autant dans ma vie familiale, que professionnelle ou ecclésiale, c’est la joie de l’Évangile qui m’habite. J’avais une véritable soif de mieux comprendre, de mieux structurer ma vie spirituelle, d’éclairer des questions qui venaient en moi. Je me suis dit aussi que quand je serai à la retraite, peut-être que l’église aura besoin de moi. Si à ce moment-là je suis formée, claire dans ma foi, pas seulement dans l’ordre  de l’affect et de la sensibilité, mais aussi dans la construction intellectuelle, peut-être que cela sera utile. J’ai toujours eu en moi ce désir de servir l’Eglise.  En définitive, je n’ai pas attendu la retraite pour que cette formation porte ses fruits, c’est déjà le cas dans tout mon vécu, et pas seulement ecclésial.

Catherine Bellenfant

Les cours, ce n’est pas quelque chose de sec. […] Il n’y a pas eu une année où les disciplines suivi ne m’ont pas apporté quelque chose, en termes d’ouverture d’esprit, de questionnement éclairé, ou de vérification de ma foi.

Catherine Bellenfant

Mes études à l’IST ont été pour moi une étape capitale dans ma vie […] Pas un week-end à Sophia qui ne m’ait procuré éclairages nouveaux et jubilation. (…] Apprendre avec d’autres, de formations et expériences très diverses, cela m’a élargi le regard, m’a déplacée. […]  La manière dont je lis la Parole, dont je la vis, dont je la transmets, se trouve heureusement modifiée. Ces changements ne sont pas quelque chose de figé mais un mouvement impulsé qui se poursuit aujourd’hui dans ma mission. L’IST de Sophia représente pour moi un trésor dans notre diocèse […]

Florence Mandeville

Certes les thèmes abordés dans les différents cours étaient parfois difficiles, mais en fait ils constituaient un chalenge pour chacun de nous, car ils impliquaient souvent une remise en question de fondements que l’on croyait acquis.

François Santoro

Pareil « quinquennat » fut pour moi le lieu et le moment d’une véritable metanoïa, d’un profond et irréversible retournement. Lorsque je suis arrivé à l’IST en 2009, j’étais un intermittent du christianisme, aux connaissances déficientes et à la pratique quasi inexistante. […] Patiemment, l’équipe d’enseignants de l’IST a su prendre la mesure de mes doutes, bousculer mes certitudes […] et me donner des outils efficaces pour construire une pensée et élaborer des raisonnements. […]

Jean-François Gonzalez

Quoi de plus merveilleux que d’aller à l’église en percevant le sens de ce qui s’y joue, dimanche après dimanche ?

Jean-François Gonzalez

Sans doute, l’évangéliste Matthieu (11, 25-30) proclame-t-il : « ce que tu as caché aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits », mais loin d’être une condamnation de la connaissance, cette déclaration se veut sans doute plus justement une exhortation à l’humilité et à la modestie. Parce qu’il est malheureusement vrai que l’orgueil et la prétention ne sont jamais très loin de l’érudition mal maîtrisée.

Jean-François Gonzalez

La théologie n’a pas pour but de réduire la foi, mais d’en rendre compte, de la rendre intelligible.

Franck de Rivoyre

Contrairement aux critiques que l’on entend parfois la théologie est humble. […] Elle dégage un espace insaisissable, celui du divin, dans lequel la foi peut se déployer ; non plus comme une croyance aveugle et sûre d’elle-même, mais bien plutôt comme une confiance humble et modeste, une foi tranquille qui permet au chrétien que je suis d’apporter sa petite mais pertinente (j’espère !) contribution à la vie de la paroisse : catéchèse, aumônerie, préparation de PU, etc., etc.

Franck de Rivoyre

Pas un week-end à Sophia qui ne m’ait procuré éclairages nouveaux et jubilation.

Florence Mandeville

Ces disciplines certes font l’objet d’un travail universitaire soutenu. Elles témoignent de la transmission de la foi et la mémoire des évènements fondateurs. |…] Au-delà des connaissances, c’est la personne toute entière qui se trouve renouvelée. L’approfondissement consenti dans la théologie et l’exégèse vient édifier celui qui annonce le Christ, dans l’engagement en pastorale et dans le dialogue avec le monde.

Monique Aubry-Roques

Je suis entré à l’IST chancelant, j’en sors fondé, porteur d’un leg et membre d’une tradition. L’IST est un îlot de savoir, d’éveil, qui prépare l’avenir, parce qu’il porte un héritage.

Cédric Lesluyes

Que nous ont apporté ces années d’études ? La découverte d’abord d’un univers intellectuel et spirituel de deux mille ans de catholicisme que nous ne connaissions pas, introduit par des universitaires laïques et religieux d’une prodigieuse compétence. Une transmission personnalisée ensuite : la richesse de la tradition chrétienne est telle qu’elle permet à chacun de trouver des réponses à ses préoccupations, car la modernité s’éclaire aussi avec les lumières du passé. Saint-Augustin est toujours notre contemporain. Nous a séduit également la diversité de ton, de conception et d’opinion des enseignants, qui montre à quel point l’église actuelle, contrairement aux sentiments que nous en avions malheureusement gardé, est une recherche plurielle vivante. […] Même si la vocation universitaire de ce cycle d’études ne s’inscrit pas forcément dans une recherche de la foi ou de rapprochement vers l’église –c’est d’abord un cursus d’études ouvert à tous quel que soient ses croyances–, l’IST constitue également pour nous une porte grande ouverte sur l’église d’aujourd’hui, que nous franchissons désormais avec bonheur.

Noël et Geneviève Imbert Bouchard

A une époque de ma vie où je m’essoufflais spirituellement, l’IST est venu combler ce vide et m’a donné les moyens de goûter à une nourriture dont je pensais qu’elle n’était pas pour moi.

Anne de Lajarte

Abandonner son quotidien le temps d’un weekend. Quitter le monde qui parle pour approcher le monde qui pense. Docilement, écouter d’abord, s’imprégner, laisser couler dans son cerveau des paroles centenaires, voir millénaires. Puis timidement, analyser, réfléchir, proposer. Et enfin rentrer chez soi avec cette réflexion nouvelle, cette pensée verticale, qui tel un radar, balaie plus de donnée et permet une approche de son quotidien plus large.

Karine Huguet

Mes études de théologie m’ont apporté beaucoup de clarifications, et des notions très utiles dans la rencontre avec ceux qui ne croient pas, ceux qui croient à autre chose ou ceux qui croient différemment, et ceux qui ont du mal à croire.

Françoise Oros

Dans le monde d’aujourd’hui, les chrétiens sont confrontés à des questions de plus en plus complexes. Si la foi n’est pas étayée par un travail de réflexion théologique sérieux, l’évangélisation ne pourra porter du fruit. L’IST a vraiment sa place dans cette mission de l’Eglise.

Odile Schneider Maunoury

À l’IST, il y a une grande ouverture d’esprit. À tous les niveaux. Lors de mon inscription, personne ne m’a interrogé sur mes croyances. Chacun vient avec ses doutes, ses interrogations, sa foi. Chaque étudiant vient pour une raison différente. Affermir sa foi, mieux s’engager dans la pastorale, avoir une activité intellectuelle, mais aussi mieux comprendre le fait religieux, les croyances ou les non-croyances des uns et des autres, les grands philosophes, le monde qui nous entoure.

Jean-Marc Gualandi

De nombreux actes que nous accomplissons dans la vie de tous les jours n’apportent rien financièrement, mais beaucoup spirituellement : écouter un beau morceau de musique, regarder le soleil se lever, ou se coucher à l’horizon, observer le vol des oiseaux dans le ciel, ou les nuages ! La théologie, c’est comme un lever de soleil. Cela apporte, que l’on soit croyant ou pas (c’est un point à souligner) beaucoup de plaisir et cela nous permet de changer le regard que nous portons sur le monde et sur les autres. A l’IST j’ai beaucoup reçu.

Jean-Marc Gualandi

Sur le plan humain, j’ai rencontré de nombreuses personnes d’âges et d’horizons différents, dans une atmosphère détendue, ou ne règne aucun esprit de compétition, ce qui devient rare de nos jours. […] Si l’on n’y réfléchit bien, il y a peu d’endroits où l’on peut côtoyer et échanger avec des personnes de tous âges, et venant de toutes les catégories socio-professionnelles. Inutile de préciser que des amitiés fortes qui se nouent tous les ans.

Jean-Marc Gualandi

Venir étudier à l’IST, c’est venir apprendre à penser par soi-même, à développer son esprit critique dans une société où l’on veut souvent penser et décider à notre place.

Jean-Marc Gualandi